Souvenirs de famille :
Mon arrière grand père, Jean Antoine, avec sa sœur Aline en 1918…
Puis mon grand père François, en 1941…
Et plus sportivement, papa
(le beau jeune homme à gauche)
Vous comprendrez donc pourquoi j’ai toujours eu l’envie de rouler en deux roues, et comme je suis un peu fainéant, avec un moteur monté au milieu du cadre…
Dernière folie en date : la peinture de ma harley ….
(en 2107, à 155 000km)
Je suis fou de Salvador Dali, qui, lui, n’était pas fou, mais seulement fou du chocolat Lanvin (pour mémoire, voir ici).
Je suis également amateur de camembert, fromage mou, qui a « inspiré » Dali pour ses montres molles… (voir ici également)
Mais vous connaissez sans doute…
Donc, si je vous montre ce tableau (1931 – « La persistence de la mémoire ») et ces photo (1951 – « Voluptate mors » et 1954 – « Dali’s moustache » – Philippe Halsman), vous voyez ce que je veux dire !
Pour « mémoire », j’ai un tatouage « persistant » sur le bras gauche :
Vous comprendrez donc que j’ai fait peindre quelque chose de similaire sur mon brèlon :
Sur le bidon, cette tête de mort si « familière »
Sur le garde boue avant, vous verrez mon compteur kilométrique « mou »
Et des petites « moustaches » sur le garde boue arrière
Et pour aller à fond dans la folie, j’ai rebaptisé mon Harley Davidson en Harley Dalidson… lisez bien l’orthographe sapristi !
Tout assemblé, ça donne ça :
Et donc encore plus de plaisir à rouler, et à utiliser mon brèlon tous les jours :
Pour aller chercher les pizzas 
Pour faire les courses chez casto 
pour aller au boulot (enfin, quand j’y allais)
Bon maintenant, vous savez tout, je suis fou de mon brèlon….